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à l’homme“, me dis-je. Au
19ème siècle il y en avait
encore ici. Aujourd’hui les rizières
et autres cultures sont fort heureu-
sement débarrassés de ce genre
de vecteurs de maladies.
Encore une fois j’avais raison
d’être patiente. Je découvre un
magnifique lézard vert qui a osé
sortir de sa cachette. Une chance
que personne ne peut me voir, car
je suis tellement en admiration, que
j’ouvre la bouche. Hélas cela a suf-
fit pour le faire fuir. Je m’assois. J’at-
tends. Longtemps. Juste au moment
où je décide de me lever pour par-
tir, il réapparaît, sortant d’un tronc
d’arbre. Cette fois-ci je le mitraille.
Je fais chauffer ma caméra. On di-
rait qu’il aime poser, ce joli lézard.
Au moment de reprendre la voiture
à Can Guso, un proyer d’Europe
assis sur de fines brindilles m’offre
sa chanson du soir. C’était vrai-
ment une journée réussie de A à Z !
Bibliographie:
Compte,A (1963). El Alto Ampurdán. Pirineos, 67-74:1 –285. CSIC. Zaragoza
Surroca, J.(1979). El conreu de l’arròs a l’Empordà durant el segle XVIII. Estudis d’història Agrària,2: 75-95.
Sargatal,J. ;Fèlix, J.eds. (1989). Els aiguamolls de l’Empordà, aspectes ecològics,històrics i socials. Quaderns dels
Indiketes.Carles Vallès editor. Figueres.