Page 51 - Costa Live Magazine
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the ground, with a speed of 200km/h. However, because of the shining sun, this is not an easy thing to do and so I often confused a seagull with the  rst parachutist jumping down to the earth.
After a few minutes, the  rst ones arrive in various formations with their parachutes. Still, I can’t see my boyfriend. I am scanning the sky impatiently for his parachute. They keep me on tenterhooks a little bit more and then  nally I see the right parachute. Rapidly I take my phone and follow them with my camera while taking photos, hoping some of them will turn out well. Then I go to the air eld and welcome a happy Jonas back on the ground.
Lorsque l’appareil décolle je suis le point devenant de plus en plus petit. Pas seulement parce que je suis chargée de prendre des photos, mais aussi parce que je veux bien-sûr savoir où et quand mon chéri  le vers la terre avec une vélocité d’environ 200 km/h. Toutefois, ce n’est pas évident vers le soleil printanier et plus qu’une fois je confonde une mouette qui circule haut dans le ciel avec le premier parachutiste qui revient.
Après quelques minutes les premiers arrivent et ils approchent le sol en volant en différentes formations avec leurs parachutes. Mais, pour le moment je ne vois aucune parachute de tandem. Impatiente je scrute le ciel pour voir une parachute qui est plus grande que les autres. Je suis encore mis à la torture et puis je découvre  nalement une parachute à laquelle pendillent quatre pieds. Rapidement je sors mon portable, je suis les deux pendant leur amorce de l’atterrissage, je prends de photos, je zoome et j’espère que dans cette bousculade quelques belles photos sont nées. Ensuite je vais vers le terrain d’atterrissage, très soulagée, et là, j’accueille Jonas qui est au comble du bonheur.


































































































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